La Sophrologie et l’hypnose contre le tabac et autres addictions

Les addictions touchent toutes les catégories d’âges confondus sans distinction de sexe ni de milieu social. Elles se rapportent autant à des produits qu’à des conduites.
Il peut s’agir de comportements ou de substances (Alcool, tabac, drogue, nourriture, jeux, smartphones, réseaux sociaux, achats compulsifs, etc…..).
L’addiction est une conduite qui repose sur une envie constante et irrépressible en dépit de la motivation et des efforts du sujet pour y échapper. D’une manière générale, tout comportement compulsif pourra être considéré comme addictif qui engage corps et esprit dans le mal-être.

L’addiction n’est pas une maladie mais un dysfonctionnement dans le comportement. Elle se caractérise par l’impossibilité répétée de contrôler un comportement visant à produire du plaisir ou à écarter une sensation de malaise interne, et la poursuite de ce comportement en dépit de la connaissance de ses conséquences négatives. On parle d’addiction lorsque le besoin s’associe à une fonction « anxiolytique ».

La sophrologie, l’hypnose et la pleine conscience permettent entre autres de remédier aux addictions comme le tabac, la nourriture, les sucreries en agissant conjointement sur le corps et l’esprit.

Elles aident le client à accepter le trouble et les pulsions. A comprendre et à gérer son addiction en favorisant la prise de conscience des facteurs déclencheurs et des réactions automatisées. A appréhender en douceur les moments difficiles en activant d’autres circuits de la récompense pour retrouver progressivement sa liberté.

Dans le cadre des formes d’addictions plus lourdes telles la drogue, l’alcool, ces techniques complémentaires permettent d’accompagner l’abstinence dans le cadre une prise en charge multidisciplinaire: médecin addictologue, psychologue, sophrologue ou hypnothérapeute, accompagnement familial.
Elles permettent d’aller chercher les points forts du client pour qu’il règle ses problèmes lui-même. Se débarrasser d’une addiction dépend de plusieurs facteurs : « La volonté de la personne, le thérapeute et la confiance qu’il véhicule, enfin les produits médicamenteux si nécessaire »

Grâce à ces méthodes, les résultats obtenus à ce jour en rapport de certaines addictions semblent prometteurs, allant dans le sens d’une diminution des envies de consommer. Surtout de prévenir du risque de rechute.